Université : de nouveaux blocages et des violences
Il y a toujours eu dans le monde des anomalies. En général, ce sont les personnes âgées qui sont réfractaires aux avancées, aux changements. Mais là, ceux sont les jeunes, les étudiants qui ne veulent pas voir les choses évoluer. Au contraire, ceux sont les premiers à freiner des deux pieds. Pourquoi ? Le savent-ils eux-mêmes ?
Que certaines personnes soient mécontentes de la loi LRU et demandent son retrait, cela peut exister. Les Français aiment à être mécontent. Pour rappel, la loi a été discutée durant l’été 2007 et elle est parue le 11 août 2007. Mais cela n’excuse pas, ni ne justifie les violences, les blocages de facultés. Faut-il croire que ces étudiants, toujours les mêmes, ne savent que s’exprimer par la violence ?
La démocratie de la rue n’existe pas. Seule, celle des urnes est reconnue et valable. Les Français ont élu une personne et son programme, il est logique que celui-ci soit appliqué (sinon nous serions les premiers à critiquer la non application).
Enfin et surtout les étudiants sont les premiers à se plaindre des locaux, mais se rendent-ils compte que dégrader le matériel ne permet pas d’avancer. Les étudiants critiquent le manque de moyens, alors pourquoi engendrer des dépenses supplémentaires en nettoyage, en remplacement des différents mobiliers cassés pour réaliser les blocus. Pour finir, est-ce une manière d’agir que d’empêcher les gens d’aller étudier ?